Certes pas de rapport direct avec le yoga mais être en lien avec la nature fait partie de la philosophie yogique.
Les pâquerettes arrivent au printemps, souvent autour de Pâques, jour du renouveau, on pose de belles intentions. Cette saison, nous invite à nous réinventer.
On cueille ces demoiselles et on les laisse une nuit à l’abri de la lumière pour que l’humidité s’échappe. Dans un bocal hermétique, choisir une huile bio (qui ne dégénéra pas au soleil) : de tournesol, d’olive par exemple. Placez le bocal au soleil. Grâce à la chaleur, l’huile capte les propriétés de la plante et l’énergie solaire.
La solarisation, la macération solaire nous arment de patience de 3 à 7 semaines (les avis sont partagés sur la durée) et permet de charger l’huile de photons naturels et des extraits actifs des fleurs. Certains disent qu’il faut éviter les UV directs. Moi, je fais confiance à dame nature. Ouvrir le bocal tous les jours pour laisser s’échapper la condensation. Enfin, filtrer avec un linge coton, récupérer l’huile qu’il faudra conserver à l’abri de la lumière. Rendez les pâquerettes à la nature.
Les bienfaits : cicatrisante, anti-ride, effet tenseur, réduit la couperose et les vergetures. Efficace contre les bosses, ecchymoses si mêlées avec quelques feuilles de plantin.
Certains l’appelle « l’huile des seins »…